Vidéo : La maladie grave : un risque à gérer
Tout comme l’investissement, l’assurance sur la santé repose sur une saine gestion du risque.
Mais les approches sont différentes : en investissement, davantage de risques signifie généralement un plus grand potentiel de rendement. En matière de santé, il n’y a pas de contrepartie positive : on s’expose simplement à de graves conséquences.
Voici quelques exemples de ces risques.
Selon la Société canadienne du cancer, près d’un Canadien sur deux développera un cancer durant son existence. Chaque jour, 617 citoyens canadiens, en moyenne, reçoivent un tel diagnostic.
Selon la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC, neuf personnes sur 10 présentent au moins un facteur de risque de trouble cardiaque, d’AVC ou de déficit cognitif d’origine vasculaire.
De son côté, l’Agence de la santé publique du Canada estime que le risque de recevoir un diagnostic de démence double à chaque tranche de cinq ans, à partir de 65 ans.
Heureusement, de tels diagnostics ne sont pas toujours fatals. Néanmoins, ils peuvent vous forcer à renoncer à votre travail, à obtenir des soins spécialisés, ou à faire appel à des proches qui, eux aussi, pourraient voir leur vie bouleversée.
L’assurance maladies graves peut être un outil pour gérer les conséquences financières et personnelles de ce type de risques. Elle offre une protection sous la forme d’indemnités financières et, dans certains cas, de services professionnels.
Pour en savoir davantage, consultez votre conseiller en sécurité financière.
Écran de fermeture avec les logos.
Les sources suivantes ont été utilisées dans la réalisation de cette vidéo :
Canadian Cancer Society, « Cancer statistics at a glance ».
Desjardins Assurances, « L’assurance maladies graves ».
Fondation des maladies du cœur et de l’AVC, « Les liens en chiffres ».
Public Health Agency of Canada, « A Dementia Strategy for Canada ».
